Définition :
Le résultat d’une addition s’appelle une somme.
Exemple :
Définition :
La différence entre deux nombres est le nombre qu’il
faut ajouter à l’un pour obtenir à l’autre.
La soustraction est l’opération qui permet de calculer
la différence entre deux nombres.
Exemple :
Propriété :
Dans le calcul d’une somme, l’ordre des termes n’a
pas d’importance. On dit que l’addition
est commutative.
Exemple : 73 +
28 = 28 + 73 = 101
Conséquence :
On peut donc regrouper (astucieusement) des termes pour faciliter les
calculs.
Remarque : On ne
peut pas changer l’ordre des termes dans une soustraction.
Exemples :
A la calculatrice, calculer :
25,1 + 13,7 :
On tape : 25.1 + 13.7 = et il s’affiche : 38.8 qu’on lit : 38,8.
119,71 – 25,49 :
On tape : 119.71 -
25.49 = et il s’affiche : 94.22 qu’on lit :
94,22.
Règle :
Pour ajouter ou soustraire deux fractions décimales de même
dénominateur, on garde ce dénominateur et on ajoute ou
on soustrait les numérateurs.
Exemples :
Définition :
Le résultat d’une multiplication s’appelle un
produit.
Exemple :
Propriété :
Dans le calcul d’un produit, l’ordre des facteurs n’a
pas d’importance. On dit que la
multiplication est commutative.
Exemple : 7 x 28
= 28 x 7 = 196
Conséquence :
On peut donc regrouper (astucieusement) des facteurs pour faciliter
les calculs.
Exemples :
A la calculatrice, calculer : 5,1 x 13,7 :
On tape : 5.1 x 13.7 = et il s’affiche : 18.87 qu’on lit : 18,87.
Règle : Pour multiplier deux fractions décimales, on multiplie les numérateurs entre eux et les dénominateurs entre eux.
Exemple :
Il est souvent utile de pouvoir remplacer un nombre par un autre nombre plus simple, que l’on appelle ordre de grandeur de ce nombre. Cela permet d’obtenir une valeur approchée soit :
pour prédire un calcul ;
pour vérifier un calcul ;
tout simplement pour comparer des nombres ou les retenir plus aisément.
Remarque : Le nombre b – a est :
le nombre qu’il faut ajouter à a pour obtenir b.
le nombre qu’il faut retrancher à b pour obtenir a.